Some Paper Has The Reality - by Lulu (Concours 6)
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Some Paper Has The Reality - by Lulu (Concours 6)
SOME PAPER HAS THE REALITY
Il avait fallu que ça tombe sur moi, que ce soit, CE sujet là que l’on m’impose pour ma thèse de fin d’année. Hallucinant !
Will, mon coloc, pensait que c’était une bonne expérience aux vue de ma vie sexuelle identique au désert de Gobi, et à juste titre. J’avais beaucoup de mal à me projeter dans l’avenir d’une telle BD. L’univers érotique, la description illustré d’un acte, d’un sentiment, j’étais loin d’aboutir à un résultat satisfaisant, pourtant, je n’avais pas eu le choix de refuser et je n’avais pas d’autre choix que de me donner les moyens de cartonner pour que mon année soit validé.
Mon téléphone vibra contre ma cuisse, faisant éclater la petite bulle de pensé qui gravitait autour de ma tête.
_ Ouep !?
_ Bien arrivée ?
_ Je ne pensais pas Londres si grisâtre !
_ Te plaint pas, au moins tu es là bas, et moi ici, avec des trombes d’eau qui me trempe jusqu’au os. Tu as vue ou tu allais crécher ?
_ Personne à l’horizon pour le moment, j’attends. T’es sure de ne pas vouloir tricher et de faire ce truc à ma place ?
_ Je fais du droit je te rappel, pas de l’art plastique !
_ Oui, mais ton expérience sexuelle est bien plus productive que la mienne.
_ Tu y arriveras. Aller, je te rappel demain matin. Courage ma belle. Bisous.
_ A plus !
Heureusement que je pouvais compter sur Will, il était ma famille, mes amis, tout ce que j’avais de plus chère et tout ce que j’avais tout court.
Quelqu’un scanda mon nom, comme un marchand de poisson vendant sa marchandise à la criée. Je me détournais machinalement et lui fis signe que j’étais là, mais qui voulais aussi dire qu’il pouvait baisser le ton.
Il me conduisit jusqu'à un vieux quartier de la capitale, les bâtiments aussi grisâtres que le temps, les expressions des passant tout autant, certaines route pleine de boue, bref, rien de bien motivant.
Il s’arrêta devant un petit immeuble cossus cette fois-ci, à la façade d’un crépit blanc tout juste posé, et aux fenêtres en PVC, déjà plus charmant.
Le gardien pris le relais et me mena à la porte de mon nouveau refuge.
L’appart en lui-même était pas mal, spacieux, et il y avait une baignoire, super important et une clarté parfaite pour mes dessins. En posant ma main sur le chambranle de la porte, je m’enfonçais une écharde dans le doigt ce qui eu pour effet de m’extirper de la gorge un soupire étouffé.
_ Vous voulez un coup de main pour l’enlever ?
_ Non je vous remercie, c’est gentille à vous mais je verrai ça plus tard, là, je vais me reposer. Merci de votre hospitalité.
Je refermai la porte presque aussitôt, attrapa ma pince à épiler qui se trouvait dans mon sac et extirpa ce satané micro bout de bois de mon index.
Le téléphone vibra de nouveau.
_ Oui ?
_ Melle Storm, Mme Bright des éditions PinkBirds, vous êtes arrivez à bon port ?
_ Bonjour Madame Bright, oui, très bien arrivée merci.
_ Bien. Alors comme convenue, je vous attends dans une semaine avec les planches en main. Vous avez le thème et vous avez carte blanche. Je compte sur vous pour que votre travail soit à la hauteur de mon attente.
_ Je ferai de mon mieux.
_ A la bonheur ! Alors à la semaine prochaine !
_ C’est ça, a la semaine prochaine.
Mais, merde, qu’est-ce que j’avais été me foutre dans un merdier pareil ? Je déballais mon matériel et me servis de la table de cuisine comme « chevet » pour mon projet. Le truc qui acheva ma journée c’est le fait de voir là, devant mes yeux, tout mes fusains broyer !
Décidemment, j’aurai du m’écouter et les mettre dans mon sac à main plutôt que dans mes bagages. Et ici, je ne connaissais rien, et trouver un vendeur qui es ce stock là, c’était je pense perdue d’avance.
Il fallait donc m’armer de courage et sillonner les rues de Londres. Je mis un sweat a capuche, un jogging et partie à petite foulée. A peine avais-je parcourus 500 mètres qu’une pluie battante s’abattait sur moi, giflant mon visage à l’identique de milliers de coups de fouets.
Au détour d’une rue sombre, je m’engouffrais dans un petit magasin qui se trouvait là, au milieu de nulle part, dégoulinante et a bout de souffle j’ôtais ma capuche pour voir où j’étais tombée.
A croire que les divinités avaient entendues mon désespoir puisque la boutique regorgeais de matériel en tout genre, pinceaux, cuillères de peintre, chevet…….Je remerciais le ciel à ce moment précis.
Je me régalais visuellement de ce qui m’entourait lorsque qu’une présence s’interposa dans mon dos, me faisant me redresser.
_ Bonjour jolie demoiselle.
_ Bonjour madame je, heu…..
Comment pouvait-elle savoir que j’étais une demoiselle ? Ses cheveux grisonnants étaient relevés en un chignon d’époque, habillé d’une broche de saphir, lui donnant un air de royauté. Ses yeux d’un blanc laiteux me fixaient distinctement malgré sa cécité évidente ce qui me déstabilisa.
_ Je souhaiterais des fusains de cette taille-ci et de la même marque si possible.
Elle les prit dans ma main, les toucha, quel manque de tact de ma part d’avoir pensée qu’elle aurait pu les voir. Mais elle les voyait finalement, à sa manière.
Un sourire illumina son visage et elle toucha mes mains de nouveau. Réticente à ce genre d’approche je me laissais faire malgré tout, on ne pouvait pas empêcher une vieille personne de perdre un peu les pédales.
_ A toute personne exceptionnelle est destiné un objet aussi exceptionnel. Je pense avoir ce qu’il vous faut.
Heureusement qu’elle ne voyait pas mon regard incrédule sinon j’aurai probablement subit sa fureur.
Elle partie derrière son long comptoir usé et en sorti un écrin en bois sculpté dont elle fit glisser la petite tablette coulissante qui le refermait. De magnifique fusains, trois fois plus cher et d’une marque excellente s’en dévoilèrent et je ne pus réprimer un hoquet de surprise.
_ C’est ce qu’il vous faut n’est-ce pas ?
_ Oui mais je….
_ Pour quelle occasion ?
_ Un très gros challenge pour mon avenir, un vrai casse tête pour tout vous dire.
_ Alors ils sont à vous.
_ Je vous remercie mais je n’ai pas les moyens.
_ Ils sont à vous, je vous le répète. L’argent n’est pas un problème, ils vous sont destinés voilà tout.
Je gardais le silence un moment, tenté de les prendre et de m’en aller avant qu’elle ne change d’avis ou alors lui faire entendre raison sur le prix mirobolant de ce qu’elle m’offrait et de la conscience qu’elle en avait.
_ Je ne sais pas comment vous remercier.
_ Vous le ferez, réussissez, apprenez, vivez, regarder et ce sera votre propre manière de me remercier.
_ Hum, oui, je le ferai. Merci encore madame ?
_ Jeannette.
_ Merci Jeannette, à bientôt peut-être.
_ Probablement pas. Au revoir Ruby.
Je me retournais mais déjà elle atteignait son arrière boutique. Comment savait-elle mon prénom ? Décidemment cette vieille dame était bien étrange. J’eus un sourire de contentement et repartie soulagée, même la pluie ne réussissait pas à me casser le moral.
C’est trempée que je rentrais à l’appartement, ivre de l’envie de prendre mes nouveaux joujoux et de m’atteler à ma BD érotique.
Finalement la lumière de la cuisine ne correspondait pas. J’improvisais alors un petit bureau juste au dessus de la fenêtre du salon en me servant de la table basse. Je disposais mes planche a dessins pris tout ce dont j’avais besoin, mis mon Ipod sur mes oreilles et en avant les troupes, l’inspiration était au rendez-vous, la musique m’entrainant dans un monde inconnu qu’il me fallait percer et apprivoiser.
Je m’inspirais d’un film, « infidèle » où une jeune femme mariée s’éprend d’un jeune vendeur de livre qu’elle heurte par accident.
Je m’imaginais cet homme, parfait, entreprenant, mystérieux et super canon. Jusque là, la réalité n’est pas bien difficile à exprimer mais je devais accélérer les choses, rentré dans le vif du sujet. Et là, tout devenait bien plus compliqué. Si seulement Will était là pour me donner le ressenti d’un homme, les choses à faire, les attitudes à adopter. Je me mise à penser fortement à mon personnage, tentant de me mettre a la place de cette femme et de ressentir son attirance et son désir et bizarrement, ma gorge devenait sèche et mon cœur palpitait à la simple idée d’imaginer ce que cet homme serait en possibilité de « me » faire.
J’eus un rire nerveux et me passa les mains sur le visage pour essayer d’évacuer toute ma gène. Un verre d’eau bien fraiche ne serai pas de refus non plus.
Je me dirigeais donc vers la cuisine, bien décidée à faire baisser la température qui chauffait mon corps mais j’étais loin de me douter de ce qui m’attendait là, adossé au plan de travail.
Un homme, CET homme, celui que je dessinais, celui qui était sortie de mon imaginaire et qui était encore plus parfait que celui de mes propre traits.
Il se décolla du marbre frais et s’approcha de moi un verre a la main. Aucune parole ne filtrait de sa bouche mais ses yeux étaient une conversation a eux seul et ils m’ordonnaient de m’hydrater, chose dont j’avais indéniablement besoin.
Je bus a la hâte et lui tendis le verre qu’il prit et posa derrière lui. Il me détailla un moment, je me sentais comme encré au sol, incapable du moindre mouvement. Bordel, comment mon imaginaire pouvait-il se retrouver dans ma cuisine, prêt à me donner une bonne leçon de vie ? C’était la suite logique de mon histoire non ? Où de mon rêve, c’est ce que ça devait-être.
Ses mains passèrent sous mes aisselles et il me décolla du sol, me posant délicatement sur le plan de travail.
J’avais effleuré ses muscle saillants, sa peau douce et ferme et le petit courant d’air de ses mouvements m’avait fait parvenir son odeur de menthe qui brula mon être d’un désir naissant.
D’un doigt, il dessina les contours de ma bouche, comme s’il s’agissait d’une gourmandise qu’il fallait apprécier. Il descendit petit à petit vers mes épaules, faisant glisser la première bretelle de mon débardeur, puis la seconde, laissant à ses yeux tout loisir de se délecté de ma poitrine.
Mes joues s’empourprèrent, jamais on m’avait regardé d’une telle manière, avec autant de désir et de lenteur.
Ses bras m’enlacèrent légèrement, son pouce et son index réussirent à dégrafer mon soutient gorge en un simple essai. Les hommes n’avaient-ils pas réputation de ne pas savoir les enlever ?
Dans cette position, son visage était proche du mien, ses lèvres presque au bord des miennes mais il fit attention de ne surtout pas les effleurer, provocant un certain agacement en moi, un empressement qu’il s’amusait a repousser et qui me disait que je n’avais pas fini de fulminer intérieurement.
Il me fit subir les pires tortures, m’embrassant, léchant, mordillant la moindre partie sensible du haut de mes cheveux au bas de mon ventre. Je voulais le toucher, lui rendre la pareil mais là encore ; lui seul semblait maitre du moment, me figeant et m’apprenant comment on devait faire. J’étais inexpérimenté et j’allais ressortir de là aussi sure et sensuel que Will.
Après une séance d’une sensualité magnifique, il s’attela à dégrafer mon pantalon me soulevant d’un bras pour me le retirer, n’oubliant pas au passage ma petite culotte trempé, libérant enfin la chaleur brulante qu’elle accumulait.
Ses yeux perçaient de nouveau les miens, toujours sans parole mais avec tant de compréhension que j’en étais toute pantelante.
Il écarta mes jambes de son bassin en un mouvement de pur délice dont je ne pus refuser l’invitation.
Ses doigts caressaient le point le plus sensible de mon intimité m’extirpant des gémissements de plaisir et de douleur tant mon envie était pressante. Il ne lâchait pas mon regard, emmagasinant chacune de mes réactions pour en créer de nouvelles.
Ses doigts entrèrent maintenant en moi, en un vas et viens doux, précis et savoureusement délicieux. Mes mains agrippaient le rebord du plan de travail à défaut de pouvoir l’agripper lui, dieux que j’avais envie de le toucher, et dieux que c’était frustrant de ne pas pouvoir y parvenir. Je me raccrochais donc à ses yeux dans l’espoir qu’il y lise mon envie comme dans le sien je pouvais voir la sienne.
J’étais tellement obnubiler par le plaisir qu’il me procurait que je m’aperçu seulement au moment ou il le faisait qu’il venait de pénétrer en moi d’une manière langoureuse et délicate.
Son torse maintenant collé au mien, il m’offrait ses lèvres que je savourais comme si plus jamais je n’aurai le droit a ce privilège. Il ne se détacha pas d’elles a mon plus grand plaisir, m’embrassant au rythme lent des vas et viens de nos corps, confronté à une luxure brulante, décadente, étrange…..
Ses mains caressaient mon visage comme pour en imprégner ses contours dans sa mémoire.
Les mouvements devinrent alors plus vif, plus animal, et la lueur dans ses yeux montait d’un cran, passant de la romance à la force, à la brutalité sexuelle, mêler à ses gémissements et au mien.
Son sexe de plus en plus tendu trouvait enfin sa place dans l’étroit passage que je lui laissais mais qui visiblement lui faisait beaucoup d’effets. Ses muscles se raidissaient, son corps était pris de légers tremblements alors que le brasier dans mon bas ventre se transformais en un désert de glace, figeant le désir en elle, me procurant un bien incomparable avant de se briser et d’envahir mon corps de spasme délicieux à m’en troubler la vue et de me faire perdre le fil de la réalité pour enfin exploser en un dédale de gémissements bruyant.
Après avoir retrouvé mes esprits, je me redressais et m’aperçue avec effrois et déception que non seulement j’étais habillé, que j’étais sur une chaise face à mes planche à dessin et que mon héroïne avait disparu. Putain j’avais donc bien rêvé ? La déception était immense.
Je me dirigeais donc vers la cuisine. Tout était sans dessus dessous sur le plan de travail et un verre vide était posé à l’endroit où lui l’avait posé et sur le sol, ma petite culotte. Mais merde, c’est quoi ce bordel ? Rien dans l’appart, porte fermé, aucune présence sauf la mienne.
Je retournais a mon travail, dépité, l’esprit ailleurs mais il y avait encore plus étrange ! Mes planches a dessins étaient pleine, sans exception, la BD presque terminé. En les détaillants, je me rendis compte que tout ce que j’avais « rêvé » était dessiné, ne me manquait plus que la fin, et j’avais moins d’une semaine pour y arriver. Je devais retourner voir la vieille dame, je suis certaine qu’elle y était pour quelque-chose, aussi étrange que cela soit.
Je reprenais le même chemin, la même rue et le magasin était toujours là ! je poussais la porte mais rien à voir avec les étalages. Tout était plus moderne, plus normal. Un grand jeune homme sortie de l’arrière boutique en m’accueillant avec un large sourire.
_ Je peux vous aider ?
_ Je suis venue dans ce magasin ce matin et il était…..Différent.
_ Je vous demande pardon ?
_ Il y avait une vieille dame……Jeannette je crois.
_ Jeannette ? C’était ma grand-mère mais elle est décédée il y à plus de dix ans.
_ Non ! Elle était là ce matin et elle m’a vendu du matériel.
_ Je peux vous assurer que non.
_ C’est dingue.
_ Que vous a-t-elle vendue au juste ?
_ Des fusains, dans un écrin en bois sculpté. Et elle ne me les a pas vendu mais donner.
_ Vous savez, ma grand-mère était quelqu’un d’étrange, c’est tout ce que je peux vous dire. Ce que vous venez de vivre relève de l’incompréhensible.
_ Vous dites que je suis maso ou je rêve ? ……..Vous savez quoi, laissez tomber.
En ressortant du magasin, toute ma bonne humeur venait de disparaitre. Je relevais comme plus tot ma capuche sur ma tête et ne vis pas la personne qui arrivais devant moi, le percutant de plein fouet et faisant tomber sons attaché case et tout ce qu’il contenait.
_ Et merde, excusez moi je ne regardais pas où j’allais.
Je m’accroupis sans relever la tête et tentais de rassembler toutes les feuilles et dossiers qui jonchais le sol trempé.
_ Je suis vraiment désolé.
_ Hey ! ce n’est pas grave, stressez pas comme ça c’est que du papier.
Cette vois était voluptueuse, chaleureuse, et je me risquais à reluquer ce qui allait avec et je ne pus que lâcher ce que j’avais ramassé de nouveaux, sous le choc.
Cet homme était le même que ma planche à dessin, son clone en tout point, le regard, l’intensité aussi forte qu’il dégageait, ses muscle moulés dans un polo bleu nuit, les traits fins de son visage et sa bouche pulpeuse, c’était lui. J’évoluais vraiment avec la sensation étrange d’être victime d’un complot chelou dans un film hollywoodien.
_ Oh ! Désolée encore une fois je….
Son rire enveloppa tout mon être au point que mes joues s’empourprèrent consciente que je venais de dévoiler à mon insu le trouble qu’il provoquait chez moi.
Mais au lieu de m’engueuler comme une personne normal l’aurai fait, il me tendit la main, l’amusement au coin des yeux.
_ Je m’appel Sébastien et franchement, ces dossiers ne sont pas important au point de vous mettre dans un état pareil. En plus vous êtes trempée et gelée. Un café ça vous tente ?
Pas la peine de vous dire la suite……Bien entendu, ma BD avait plus mais celle d’un autre avait été retenu mais dans l’histoire j’avais gagné autre chose, quelque-chose d’authentique qu’une vieille dame m’avait donné. A tout être exceptionnelle, un objet exceptionnel avait-elle dit. L’objet en question était une personne et la tombe de Jeannette au cimetière de Londres, avait pris la couleur des hortensias fleuris comme si son bonheur avait dépendu du mien.
Re: Some Paper Has The Reality - by Lulu (Concours 6)
Alors là j'adore !
Bon je sais en général j'adore toujours tes fictions.
Encore une fois tu nous emporte dans un monde nouveau et innovant.
Tes idées sont vraiment géniales.
Moi qui dessine pourquoi ça ne m'est jamais arrivée ?????
Encore une fois j'adore mais de toute façon tu sais très bien ce que je pense de ta façon d'écrire.
Bon je sais en général j'adore toujours tes fictions.
Encore une fois tu nous emporte dans un monde nouveau et innovant.
Tes idées sont vraiment géniales.
Moi qui dessine pourquoi ça ne m'est jamais arrivée ?????
Encore une fois j'adore mais de toute façon tu sais très bien ce que je pense de ta façon d'écrire.
Martyn- Admin Dans un monde où Eric serait une réalité
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Date d'inscription : 03/01/2011
Age : 57
Localisation : Toujours en plein rêve !
Re: Some Paper Has The Reality - by Lulu (Concours 6)
Whouaaaaaaa cet OS est hallucinant de sensualité, de douceur et d'imaginaire ..... juste sublime ma Lulu !!
Tu sais que j'avais imaginé une histoire ou une fille qui dessiner énormèment se retrouver avec son dessin vivant !!!!
Je pense pareil Martyn , je veux que Andrew et Ian sortent de mes dessins bordel !!!!
Bref Lulu j'adoooree comme tes fictions je suis sous le charme
Tu sais que j'avais imaginé une histoire ou une fille qui dessiner énormèment se retrouver avec son dessin vivant !!!!
Je pense pareil Martyn , je veux que Andrew et Ian sortent de mes dessins bordel !!!!
Bref Lulu j'adoooree comme tes fictions je suis sous le charme
Fée Morgane- Eric Northman pénètre mes rêves
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Date d'inscription : 11/09/2011
Age : 31
Localisation : Avec Alexander Vlahos dans un lit à Londres <3
Re: Some Paper Has The Reality - by Lulu (Concours 6)
Pfiou! Magnifique ton OS! L'idée est tout simplement géniale. La romance est parfaite et le lemon super hot et sensuel à la fois.
J'ai adoré aussi tout le côté fantastique, tu t'es gavée sur ce coup là Lulu bravo!
Franchement t'as plus le droit de me sortir que t'arrives pas à écrire des lemons, j'y crois plus
J'ai adoré aussi tout le côté fantastique, tu t'es gavée sur ce coup là Lulu bravo!
Franchement t'as plus le droit de me sortir que t'arrives pas à écrire des lemons, j'y crois plus
Re: Some Paper Has The Reality - by Lulu (Concours 6)
Non , elle ose dire qu'elle sais pas les écrire ...
pas beau de mentir poupée , tu risque de rencontrer mon pote belzé toi tu sais ...
Magnifique scénario , troublant , lemon très sensuel , c'est que du bonheur ma belle .
J'ai aimé ton histoire , du début à la fin , bravo
pas beau de mentir poupée , tu risque de rencontrer mon pote belzé toi tu sais ...
Magnifique scénario , troublant , lemon très sensuel , c'est que du bonheur ma belle .
J'ai aimé ton histoire , du début à la fin , bravo
Pap's*- attaque Voldemort
- Messages : 202
Date d'inscription : 04/01/2011
Age : 50
Localisation : Dans la play-room d'Edward ...
Re: Some Paper Has The Reality - by Lulu (Concours 6)
Oh bah merde alors!!!!!
Elidi, merci ma bichette! je suis certaine de me régaler avec le tient!
Sandrine, Pap's, venant de vous c'est un sacré compliment bordel! Merci , merci!!!!! et je reste sur ma certitude de ne pas savoir écrire un lemon digne de ce nom! mais ça m'encourage vos petits messages! MERKIIIII
Elidi, merci ma bichette! je suis certaine de me régaler avec le tient!
Sandrine, Pap's, venant de vous c'est un sacré compliment bordel! Merci , merci!!!!! et je reste sur ma certitude de ne pas savoir écrire un lemon digne de ce nom! mais ça m'encourage vos petits messages! MERKIIIII
Re: Some Paper Has The Reality - by Lulu (Concours 6)
vraiment génial cette idée
sarinette- Rencontre Stiles
- Messages : 944
Date d'inscription : 13/12/2010
Age : 51
Localisation : dans les bras de emmet eric damon et micah
Re: Some Paper Has The Reality - by Lulu (Concours 6)
Ah!!!! je suis contente que ça te plaise Sarah! tes conseils et impressions me manque!
merci, merci!
merci, merci!
Re: Some Paper Has The Reality - by Lulu (Concours 6)
Mon dieu c'est magnifique sam...j'ai bu tes mots presque pleuré ...magnifique ma belle
vero- Admin passe ces nuits avec Le pack de 8
- Messages : 5984
Date d'inscription : 11/12/2010
Age : 40
Re: Some Paper Has The Reality - by Lulu (Concours 6)
Jaime jaime ton OS
appaloosa- rendez-vous avec Eric
- Messages : 342
Date d'inscription : 03/01/2011
Age : 34
Localisation : bordeaux
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